Titre :	Arrête de mourir
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Irène COHEN-JANCA, Auteur
Editeur :	Actes Sud
Année de publication :	2014
Collection :	D'une seule voix
Importance :	79 pages
Format :	22 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-330-02756-8
Langues :	Français (fre)
Catégories :	BDSP402 Adolescent De 13 à 18 ans. / Démence Alzheimer / Littérature / Psychologie / Relation familiale / Relation parent enfant
Index. décimale :	6-1-A Méthodes de travail - Fiche de lecture
Résumé :	"Comment vivre à dix-sept ans avec une mère qui s'éteint jour après jour ? Une mère dont la mémoire s'effiloche, dont le regard vacille et se perd. Samuel voudrait seulement profiter de ses dix-sept ans ; il aime Pauline, mais quand il la ramène chez lui, ils tombent toujours sur sa mère, hagarde, effrayante. Celle-ci n'est pas folle, elle souffre d'une maladie de vieux - Alzheimer - qui ne touche pas que les vieux. Et Samuel hurle sa colère contre la vie, contre la maladie, contre celle qui n'a pas fini son boulot de mère et qui le laisse là. Pourtant l'amour filial reste immuable, impossible à effriter, et quand sa mère prononce son nom, Samuel se sent capable de déplacer des montagnes..." (RE)

Arrête de mourir [texte imprimé] / Irène COHEN-JANCA, Auteur . - Actes Sud, 2014 . - 79 pages ; 22 cm. - (D'une seule voix) .
ISBN : 978-2-330-02756-8
Langues : Français (fre)

Catégories :	BDSP402 Adolescent De 13 à 18 ans. / Démence Alzheimer / Littérature / Psychologie / Relation familiale / Relation parent enfant
Index. décimale :	6-1-A Méthodes de travail - Fiche de lecture
Résumé :	"Comment vivre à dix-sept ans avec une mère qui s'éteint jour après jour ? Une mère dont la mémoire s'effiloche, dont le regard vacille et se perd. Samuel voudrait seulement profiter de ses dix-sept ans ; il aime Pauline, mais quand il la ramène chez lui, ils tombent toujours sur sa mère, hagarde, effrayante. Celle-ci n'est pas folle, elle souffre d'une maladie de vieux - Alzheimer - qui ne touche pas que les vieux. Et Samuel hurle sa colère contre la vie, contre la maladie, contre celle qui n'a pas fini son boulot de mère et qui le laisse là. Pourtant l'amour filial reste immuable, impossible à effriter, et quand sa mère prononce son nom, Samuel se sent capable de déplacer des montagnes..." (RE)