[article]
Titre : |
[Onzième] 11e révision de la Classification internationale des maladies : une opportunité pour les soins infirmiers ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Marie JANUEL, Auteur |
Année de publication : |
2021 |
Article en page(s) : |
pp. 5-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
BDSP402 Classification maladies / Codage#3-2001. / Financement / Soins infirmiers
|
Index. décimale : |
1-2-A Santé publique |
Résumé : |
La Classification internationale des maladies (CIM) est sous-utilisée par les infirmiers. "Deux hypothèses peuvent être formulées ici pour expliquer, d’une part, la méconnaissance de la CIM par les infirmières et, d’autre part, le manque d’intérêt évident que ces professionnels portent à cette classification. La première est que la culture "infirmière" est centrée exclusivement sur la clinique, et que la part d’intérêt économique reste très marginale, alors qu’il y aurait un enjeu à relier les deux, celui de donner une valeur économique à l’activité clinique infirmière." Or, "L’intérêt pour la profession infirmière [est] sans aucun doute une meilleure visibilité et une reconnaissance de son activité réelle. Ceci par le codage de situations qui dépendent de son champ d’action, en interaction avec les autres professions de santé." (Extraits) |
in RECHERCHE EN SOINS INFIRMIERS > N° 145 (Juin 2021) . - pp. 5-6
[article] [Onzième] 11e révision de la Classification internationale des maladies : une opportunité pour les soins infirmiers ? [texte imprimé] / Jean-Marie JANUEL, Auteur . - 2021 . - pp. 5-6. Langues : Français ( fre) in RECHERCHE EN SOINS INFIRMIERS > N° 145 (Juin 2021) . - pp. 5-6
Catégories : |
BDSP402 Classification maladies / Codage#3-2001. / Financement / Soins infirmiers
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Index. décimale : |
1-2-A Santé publique |
Résumé : |
La Classification internationale des maladies (CIM) est sous-utilisée par les infirmiers. "Deux hypothèses peuvent être formulées ici pour expliquer, d’une part, la méconnaissance de la CIM par les infirmières et, d’autre part, le manque d’intérêt évident que ces professionnels portent à cette classification. La première est que la culture "infirmière" est centrée exclusivement sur la clinique, et que la part d’intérêt économique reste très marginale, alors qu’il y aurait un enjeu à relier les deux, celui de donner une valeur économique à l’activité clinique infirmière." Or, "L’intérêt pour la profession infirmière [est] sans aucun doute une meilleure visibilité et une reconnaissance de son activité réelle. Ceci par le codage de situations qui dépendent de son champ d’action, en interaction avec les autres professions de santé." (Extraits) |
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