La Souffrance du personnel soignant / Nathalie MICHELIN / Marseille : Espace éthique méditerranéen (2006)  

Public ISBD Titre : La Souffrance du personnel soignant Type de document : document électronique Auteurs : Nathalie MICHELIN, Auteur Editeur : Marseille : Espace éthique méditerranéen Année de publication : 2006 Collection : Forum num. 13 Importance : pp. 12 Langues : Français (fre) Catégories : BDSP402 Charge travail / Condition travail / Epuisement professionnel IFSI Souffrance du soignant / UE.3.3 Rôle infirmiere organisation travail Index. décimale : 4-2 Soins relationnels- Toucher - Communication - Stress Résumé : Petite synthèse de récit de soignants mettant en évidence que « le malaise du personnel est corrélatif à la qualité de la prise en charge des patients. Les soignants souffrent de ne pouvoir juguler la souffrance des malades autant qu’ils aimeraient le faire. Un facteur récurrent est la charge de travail….. Le sentiment dominant est d’être pris dans un tourbillon de tâches multiples où le temps consacré au patient s’amenuise. La priorité est aux gestes techniques, cela devient presque une automatisation. Comment le travail peut-il alors être bien fait sans le temps de la réflexion devenu impossible faute de temps ? Le sentiment d’inachevé est source d’une grande insatisfaction… » (Extraits) En ligne : http://www.medethique.com/IMG/pdf/forum13.pdf Format de la ressource électronique : PDF La Souffrance du personnel soignant [document électronique] / Nathalie MICHELIN, Auteur . - Marseille : Espace éthique méditerranéen, 2006 . - pp. 12. - (Forum; 13) . Langues : Français (fre) Catégories : BDSP402 Charge travail / Condition travail / Epuisement professionnel IFSI Souffrance du soignant / UE.3.3 Rôle infirmiere organisation travail Index. décimale : 4-2 Soins relationnels- Toucher - Communication - Stress Résumé : Petite synthèse de récit de soignants mettant en évidence que « le malaise du personnel est corrélatif à la qualité de la prise en charge des patients. Les soignants souffrent de ne pouvoir juguler la souffrance des malades autant qu’ils aimeraient le faire. Un facteur récurrent est la charge de travail….. Le sentiment dominant est d’être pris dans un tourbillon de tâches multiples où le temps consacré au patient s’amenuise. La priorité est aux gestes techniques, cela devient presque une automatisation. Comment le travail peut-il alors être bien fait sans le temps de la réflexion devenu impossible faute de temps ? Le sentiment d’inachevé est source d’une grande insatisfaction… » (Extraits) En ligne : http://www.medethique.com/IMG/pdf/forum13.pdf Format de la ressource électronique : PDF

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