Titre : |
Entrer et résider en maison de retraite: des relations de pouvoir autour du corps |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Enguerran MACIA, Auteur ; et al, Auteur |
Editeur : |
Paris : Documentation française |
Année de publication : |
2008 |
Autre Editeur : |
Cairn.info |
Collection : |
Revue française des affaires sociales num. n° 1, 2008 |
Importance : |
pp. 191-204 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
BDSP402 Corps / EHPAD#4-2006 / Estime soi#3-2001. / Libre choixPossibilité offerte, dans le système de santé français, à un malade de s'adresser librement à tout médecin ou à tout établissement de soins de son choix. / Mode admissionMode par lequel une personne est admise dans un établissement de caractère sanitaire et/ou social (admission en urgences, transfert, admission d'office, directe, etc.). / Mode entréeInformation sur la provenance et/ou l'état d'un patient au moment où il est accueilli dans une structure sanitaire. / Objet#4-2006 / Placement / Pouvoir médical / Pouvoir#4-2006 / Relation familiale / Relation soignant soigné / Représentation corps IFSI Etablissement pour personne âgée
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Index. décimale : |
1-3-C Droits des patients |
Résumé : |
"En maison de retraite, en particulier dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), la personne âgée semble souvent n’être plus qu’un corps. Car tout, ou presque, paraît tourner autour du corps qui décline, de ses besoins, de ses capacités, de sa sécurité. Il est source de tous les maux mais aussi de toutes les attentions, voire de toutes les intentions. Lavés, levés, habillés, déshabillés, nourris, parfois «posés» au salon avant d’être couchés, ces corps retirés de la société, corps à part s’il en est, semblent occuper le cœur de l’institution... Institution aliénante aux espaces privés réduits, à la structuration temporelle contraignante, la maison de retraite est parfois, malgré elle, source de mal-être pour les résidents... Pour la plupart des résidents, c’est la famille qui a décidé de l’institutionnalisation. Schématiquement, on peut opposer d’un côté la personne âgée, qui, comme le signale la majorité des études, dont la nôtre, ne souhaite guère entrer en maison de retraite, et de l’autre, son entourage – qui ne voit plus d’autre issue que le placement en institution... Par ailleurs, la plupart des personnes âgées présentent cet événement comme le résultat d’une décision personnelle, prise afin de ne pas devenir un «fardeau» pour leur entourage..." (Extraits) L'article traite pour une bonne partie des relations de pouvoir autour du corps de la personne âgée en institution (corps médical, autres résidents...) |
En ligne : |
https://www.cairn.info/revue-francaise-des-affaires-sociales-2008-1-page-191.htm |
Format de la ressource électronique : |
HTML |
Entrer et résider en maison de retraite: des relations de pouvoir autour du corps [document électronique] / Enguerran MACIA, Auteur ; et al, Auteur . - Paris : Documentation française : Cairn.info, 2008 . - pp. 191-204. - ( Revue française des affaires sociales; n° 1, 2008) . Langues : Français ( fre)
Catégories : |
BDSP402 Corps / EHPAD#4-2006 / Estime soi#3-2001. / Libre choixPossibilité offerte, dans le système de santé français, à un malade de s'adresser librement à tout médecin ou à tout établissement de soins de son choix. / Mode admissionMode par lequel une personne est admise dans un établissement de caractère sanitaire et/ou social (admission en urgences, transfert, admission d'office, directe, etc.). / Mode entréeInformation sur la provenance et/ou l'état d'un patient au moment où il est accueilli dans une structure sanitaire. / Objet#4-2006 / Placement / Pouvoir médical / Pouvoir#4-2006 / Relation familiale / Relation soignant soigné / Représentation corps IFSI Etablissement pour personne âgée
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Index. décimale : |
1-3-C Droits des patients |
Résumé : |
"En maison de retraite, en particulier dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), la personne âgée semble souvent n’être plus qu’un corps. Car tout, ou presque, paraît tourner autour du corps qui décline, de ses besoins, de ses capacités, de sa sécurité. Il est source de tous les maux mais aussi de toutes les attentions, voire de toutes les intentions. Lavés, levés, habillés, déshabillés, nourris, parfois «posés» au salon avant d’être couchés, ces corps retirés de la société, corps à part s’il en est, semblent occuper le cœur de l’institution... Institution aliénante aux espaces privés réduits, à la structuration temporelle contraignante, la maison de retraite est parfois, malgré elle, source de mal-être pour les résidents... Pour la plupart des résidents, c’est la famille qui a décidé de l’institutionnalisation. Schématiquement, on peut opposer d’un côté la personne âgée, qui, comme le signale la majorité des études, dont la nôtre, ne souhaite guère entrer en maison de retraite, et de l’autre, son entourage – qui ne voit plus d’autre issue que le placement en institution... Par ailleurs, la plupart des personnes âgées présentent cet événement comme le résultat d’une décision personnelle, prise afin de ne pas devenir un «fardeau» pour leur entourage..." (Extraits) L'article traite pour une bonne partie des relations de pouvoir autour du corps de la personne âgée en institution (corps médical, autres résidents...) |
En ligne : |
https://www.cairn.info/revue-francaise-des-affaires-sociales-2008-1-page-191.htm |
Format de la ressource électronique : |
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